Rflexion - Tumblr Posts

10 years ago
"jump" Virginia Mori 2015

"jump" Virginia Mori 2015

frome the Artbook "Hotel Miramare"

https://www.libreriadifrusaglia.it/prodotto/virginia-mori-hotel-miramare/

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9 years ago

La physique quantique dit

que nous sommes tous reliés.

Je le savais!

— Mat Fauve


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5 years ago

Il n'y aura jamais assez d étoiles pour empêcher la nuit d être sombre. Mais il y en a suffisamment pour nous rappeler que la lumière existe.

- Mathilde Fauve


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2 years ago

Y de repente , elijo callar...

Ya no me interesa que me entiendan o ser aceptada, protegida o comprendida...

Solo quiero sentirme bien conmigo misma, y no permitir más personas cosas o circunstancias externas, que quieran invadir mi vida, violar mis sentimientos, crear estragos , engañarme

O hundirme en el abismo .

A veces el silencio es un salvavidas en un mundo donde todos gritan y juzgan.

Hoy trato de ser diferente buscar la calma, buscar paz, tranquilidad y busco cada día tener la Armonía en mi vida.

Y De Repente , Elijo Callar...

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9 years ago
Reflections And Reflections. You Reflect! Riflessi E Riflessioni. Rflexions Et Des Rflexions. Vous Rflchissez

Reflections and reflections. You reflect! Riflessi e riflessioni. réflexions et des réflexions. vous réfléchissez Château de Chantilly @travelthisworld @travelingcolors @travelandseetheworld @chantilily @chateau-de-luxe


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6 years ago

"Nuestras acciones"

En nuestras acciones se refleja lo que llevamos dentro, en la mente y el corazón. Así que pensemos antes de actuar, antes de dejarse llevar por las malas emociones. Además, esas "malas acciones" solo demuestran tu inmadurez. Simplemente recapacite, quizás el problema no es esa persona o la circunstancia en la que te encuentras, quizás ese problema eres tú y tu mala actitud ante la vida. Así de simple.


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6 years ago

«À quoi bon écrire des histoires ?»

Cette phrase, à chaque fois que je la lis ou l'entends, elle me frappe en plein cœur. D'une manière douloureuse. Parce qu'à chaque fois, j'y entends une remise en question de ce à quoi je me consacre des milliers d'heures de ma vie, et la seule réponse que j'arrive à y apporter c'est «Parce que j'aime ça !»

Alors que ce que je pense et que je n'ose jamais dire, c'est « Ne remets pas en cause ce que je fais, parce que je doute déjà beaucoup trop, et que je n'ai pas de vraie réponse bien ancrée qui puisse vraiment me justifier à tes yeux »

Mais pourquoi je me sens remise en cause, en fait ? Pourquoi j'ai l'impression qu'il faut que je me justifie ?

 Déjà, voyons qui pose cette question et dans quel contexte.

Il y a ceux qui considèrent que le but d'une histoire écrite est d'être un livre et le but d'un livre est d'être un succès. N'écrire que pour soi, pour des blogs, des fanfictions, des textes amateurs, bref écrire tout ce qui s'écarte d'un succès validé leur semble être un gâchis de temps et d'énergie. Ce sont eux qui vont conseiller de mettre dans l'histoire de la romance, de la magie ou du suspens "parce que ça marche !". Sous cet angle, écrire des histoires devient un business ou une perte de temps. Ce sont les personnes qui vont demander combien de temps on a passé sur un livre, combien on a gagné, calculer ce que ça rapporte à l'heure et conseiller de s'améliorer ou abandonner. Ou alors, l'écriture n'est qu'un loisir, et ils ne comprennent pas qu'on peut y passer tant de temps, que ça peut être dur, que l'idée de ne pas arriver au bout soit si triste. Si c'est un loisir et qu'il ne te rend pas heureux·se, pourquoi continuer ? Il peut y avoir une volonté bienveillante derrière la question, quand on voit l'écrivain·e se donner tant de mal et qu'il n'y a pas de résultat, il faut lui faire réaliser que ça n'a pas de sens, pour son propre bien. Le problème, c'est que ce genre de réflexions, justement, font très mal à ceux qui écrivent.

Parce que la réponse à la question de départ est rarement «J'écris pour avoir du succès/de l'argent/de la valorisation sociale». C'est bienvenu quand ça arrive, c'est certain. Ne serait-ce que parce que ça fait taire les critiques dont je viens de parler, ce qui est toujours un soulagement. Et puis quand la société valide ce qu'on fait, ça fait toujours du bien par où ça passe.

Mais ce n'est pas ça le but.

 Il y a aussi ceux qui considèrent que le but d'une histoire, c'est de toucher les lecteurs, de leur apporter quelque chose de fort, que ce soit intellectuellement, émotionnellement, philosophiquement... Transmettre une sagesse, une culture, une expérience, une idée, une vision du monde. Eux ne demandent pas à quoi bon écrire des histoires en général, ils demandent pourquoi toi, entre tous, tu en écris. Qu'est-ce que tu as à apporter aux lecteurs. Quel est ton pitch, ton idée originale, ton angle inattendu.

Cette exigence peut sembler effrayante, surtout qu'on l'aborde en se comparant aux meilleurs. Les fans de lecture ont souvent lu des milliers de livres, mais quand ils parlent de ce qui est important, ils vont revenir sur ce qui a été important pour eux, ce qui est important en littérature, bref quelques éléments parmi un corpus littéraire très vaste. Une pression d'autant plus écrasante quand on n'a pas le même bagage, ou pire, qu'on n'a pas spécialement aimé les "classiques" ou les livres particulièrement importants pour notre interlocuteur, parce que là, on n'a rien, même pas une base commune pour convaincre que si si notre histoire a quelque chose d'intéressant à apporter.

Savoir, consciemment, ce que notre histoire peut apporter, ça donne de l'assurance pour la présenter au reste du monde, c'est sûr. Ça donne une réponse à la question du "à quoi bon" qui est une justification acceptable. J'écris cette histoire pour défendre une cause, pour expliquer un point, pour montrer aux gens que ceci existe, pour faire réfléchir. Et ce sont de très bonnes raisons.

Sauf que, soyons honnêtes, ce n'est pas comme ça que ça a commencé. Ou plutôt, ce n'est pas ça qui nous a décidés, entre tous les moyens d'expression possibles et imaginables, d'écrire une histoire. On ne se lance pas dans la fiction uniquement pour défendre un point de vue ou donner des informations, surtout à l'heure d'internet. Et il arrive aussi qu'on n'ait pas clairement en tête une raison défendable de pourquoi on veut écrire une histoire, et cette histoire entre toutes les histoires, mais ça n'empêche pas de s'y accrocher.

Donc oui, on écrit pour transmettre quelque chose aux lecteurs, mais pas seulement.

 Il y a ceux qui posent cette question parce qu'ils écrivent et se la posent eux-mêmes.

Comme je l'ai dit, écrire n'est pas de tout repos, et souvent on se demande pourquoi on se donne autant de mal. C'est long, c'est dur, ça ne ressemble pas à ce que j'avais en tête, je ne fais que me torturer pour au final faire moins bien que tous les autres*, et même si j'arrive à sortir cette foutue histoire de mon cerveau personne ne va la lire, et même si des gens la lisent ils l'oublieront très vite, alors à quoi bon tout ça ?

* existe aussi en version "mon histoire est géniale, mais je suis la seule personne au monde capable de l'apprécier alors à quoi bon tout ça ?". Nettement plus rare, bizarrement.

La réponse à la question sera alors frénétiquement cherchée dans les moments de satisfaction de l'écriture (les moments de flow, quand tout semble se mettre en place de soi-même), dans les louanges des lecteurs, dans la validation des figures d'autorité (éditeurs, critiques, conjoint, chacun a ses propres sensibilités), dans l'importance de ce qu'on veut transmettre aux lecteurs, dans la valorisation sociale (argent, célébrité), selon ce qu'on arrive à obtenir. Et ça aide. Tous ces éléments sont de précieuses sources de motivation pour continuer à écrire.

Mais ce n'est pas ça, la réponse primordiale à la question, l'élan qui nous a donné envie d'écrire des histoires au tout début.

  Dans une histoire, on met doute et certitudes, défaites et victoires, joies et peines. Il n'existe que les aspects qui nous intéressent, depuis l'apparence des personnages jusqu'à la résolution de la problématique du monde entier. On part d'un point qui nous touche, nous heurte, nous passionne, nous fait vibrer, et on le triture jusqu'à sa résolution.

Ce n'est pas grave que l'histoire ne soit pas originale, il fallait l'écrire pour ajouter sa voix au chœur général des histoires qu'on adore. Ce n'est pas grave que l'histoire ne parle qu'à une minuscule niche de personnes, il fallait l'écrire pour étendre l'univers qui nous parle. Ce n'est pas grave que les personnages aillent à contre-courant de tout ce qu'on attend du genre, il fallait l'écrire pour avoir une version qui nous semble cohérente avec notre vision du monde. Il fallait l'écrire. Il faut l'écrire. Peut-être pas aujourd'hui, dans l'urgence, peut-être qu'on est fatigué ou qu'on n'a pas le temps ou qu'on a besoin de réfléchir encore au plan. Peu importe. Une histoire qui attend d'être écrite, c'est une impulsion qui reste en permanence au fond du crâne, en attendant qu'on se mette au boulot pour être libérée. Ne jamais la raconter, c'est juste frustrant.

Alors, à quoi bon écrire des histoires, dans un monde où tant de gens écrivent, où il peut être difficile de trouver sa place ? Parce que se retenir serait juste gâcher cet élan pour au final rester hantés par nos mondes avortés. Parce que trier les histoires qui méritent ou non d'être écrites revient à figer la culture dans un éternel recommencement des classiques, alors que la culture est un tissu mouvant auquel nous sommes tous légitimes d'y participer. Parce qu'écrire des histoires est un art et que la voix de chaque artiste est précieuse et ne doit jamais être réduite au silence.


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2 years ago

Hace tiempo que no escribo. Me he tomado bastante tiempo para reflexionar.

A veces ni siquiera son cosas de mi vida, pero pensar cosas que no me afectarán me tranquiliza.

Pensar es tranquilo, renovador el sentir que profundizas cada vez más en algo que creías ya haber visto desde todos los ángulos.

Pero, a veces me altero, en ocasiones son asuntos tan personales que no puedo despejarme, se nubla mi juicio y me ahogo en un vaso de agua.

Cada vez me doy cuenta más rápido cuando no pienso con claridad, eso me tranquiliza, saber que aprendo a conocerme a mi misma, que puedo mejorar.


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7 years ago

Nadie más

La seriedad del firmamento me embargaba con un sentimiento de soledad que solo podía apaciguar con el líquido dentro de la botella en mi mano.

Sentada sobre aquel tejado podía cerrar los ojos y mientras la ventisca polar me azotaba la cara, pensar en lo mucho que había cambiado desde la última vez que me había decidido a avanzar.

No era la misma que se había enamorado ni la misma a la que habían traicionado. No era la misma que una vez había deseado llegar a este punto, y estaba segura de que no sería la misma que dos años después estaría en algún lugar que hoy no se me cruzaba por la mente.

Sentada sobre aquel frío tejado podía darme cuenta de que todos somos un compendio de sentimientos, emociones y costumbres que arden en nuestro interior cuan flamas que lengüetean el aire  a su alrededor, danzando imperturbables y seguras de su procedencia.

Sentada sobre aquel tejado me di cuenta de que aunque el tiempo pase y como los satélites, salgamos de orbita, y perdamos la brújula por instantes, siempre volvemos a nuestro centro de gravedad. Siempre volvemos a ese núcleo que cubierto de magma, es el motor de nuestro avance, el motor de nuestro funcionamiento, de nuestra respiración. Ese núcleo que nos hace levantar por las mañanas y que sabemos que tiene un propósito pero que solemos ignorar por anteponer situaciones, sentimientos o deseos que con el pasar de los solsticios se disipan como la bruma al amanecer.

Sentada sobre aquel tejado me di cuenta de que la única respuesta a todas las preguntas que tanto hacía, estaba en mi interior. Que por más que tuviera un affair con la vida y me dejara llevar por el frenesí de otra piel, siempre volvía a mí, y que siempre contaría conmigo y esas pasiones que me hacían respirar sin necesidad de sostener la mano de nadie más.

Sentada sobre aquel tejado me di cuenta de cuanto me había abandonado y de cuanto me había hecho daño, pero también de cuan bien era reencontrarme, de cuan increíble es vivir y aspirar un aire tan puro que solo puede provenir de un corazón en calma, un alma en sincronía y una conciencia llena de aprendizajes que solo me conducían al sendero que dictaminaba mi instinto y mis deseos.

Sentada en aquel frío tejado, bajo la seriedad de un firmamento que poco a poco fue aflojando sus cadenas dejando al descubierto luces titilantes, abrí los ojos y mientras la fresca ventisca me golpeaba el rostro, entendí, que no necesitaba de nadie más que de mí misma, para que cada mañana, al abrir los ojos, la primera respiración profunda que haga, sea de inspiración para vivir al máximo.

No necesitaba a nadie más que a mí.

Nadie Ms

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7 years ago

Ella

Ella, con esos ojos color noche y ese semblante de flameante atardecer, se coló por las esquinas de un muro que prometía protegerme de cazadoras de corazones que flanqueaban el silencio con una sonrisa provocadora que se llevaba mi cordura.

Ella, con esa mirada de ángel y esa sonrisa escondite de intenciones, me hizo creer que iba a dejarme ser la dueña de su alma. Un alma que tenía más resguardos que cualquier palacio real.

Ella, con suspiros pensativos me dejaba deseando más de su compañía. Ella y su búsqueda incierta hizo que le ofreciera un sentimiento que no supo manejar. Un sentimiento que floreció en medio de un incendio voraz que arrasó con todo a su paso. Con todo menos esa flor que le entregué pero que nunca me devolvió.

Ella y sus miedos, ella y sus certezas, ella y su inocencia que no necesariamente se refería a su pureza, logró hacerme entender que no todos entienden lo que les ofrecen. No todos entienden que enamorarse es mucho más que gustarse.

Ella, única y real, valiente y leal, indecisa y temblorosa, confundida y extasiada.

Ella, refulgente y exaltante mujer de deseos dubitativos que sin esperarlo se desvaneció en el horizonte, dejándome una estela de preguntas con una sola respuesta: miedo.

Quizás ya no nos veamos pero siempre estará en mi mente, tal vez no de forma recurrente pero si de manera inconsciente, pues su huella, aunque fugaz, no se borrará.

Ella es de esas que aunque no lo pretendan, dejan marcas en tu piel y alma. Marcas que no van a desaparecer aunque su nombre se disipe en tu mente y no se acerque por mucho tiempo a tu boca.

Como ella hay muchas, pero de su talla, ninguna.

Quizás lo vivido no fue tanto, pero lo que duró fue mágico y la magia perdura. La conexión existió, y aunque el miedo nos separó, su presencia al igual que su ausencia, marcaron punto y aparte en mi corazón.

Ella, con su vendaval acabó con el fuego, y como el invierno con la primavera, se diluyó inesperadamente entre mis suspiros. Dejando tras sí, un valle que de las cenizas se ha reactivado. Gracias a ella, más de una flor ha nacido y aunque su calor se marchó, el mío volvió a surgir, más fuerte y más próspero.

A ella: gracias por una tormenta eléctrica que reanimó los latidos de este sentimiento insondable que hoy conozco con más firmeza y cuya presencia hizo que se marchara la tristeza.

Ella

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6 years ago

Los recuerdos se reproducen como trozos aislados de una película sepia bordeada por motas oscuras de lejanía

Angélica Barreno


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6 years ago

Le entregaste todo de ti, ella gustosa lo recibió, pero a cambió te dio amargura y dolor que con tus esperanzas disfrazaste de amor


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5 years ago

Te quise, pero...

Te quise, pero no quiero saber de tus amores.

Te ofrecí mi apoyo pese a todo, pero eso no quiere decir que quiera ver tus fotos en brazos de otros.

Te di todo lo que tenía, no lo apreciaste, y ahora dices que nunca te han querido.

¿Acaso mis sentimientos no significaron nada para ti?

Te quise, pero prefiero no verte tan seguido. Prefiero guardar los recuerdos que construimos y solo saber que estás bien sin mí.


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5 years ago

Wake up, you need to make money...

Do we live spinning arround money?


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5 years ago

Añoranzas...

Todos tenemos esos años en los que sentimos que nuestras vidas eran mejores, eran las vidas que merecemos. 

Esos años que sientes que quieres volver a vivir, pero que lastimosamente, no podemos volver a ellos.

Toca ir colina abajo sin freno, por esto que es la vida. Sin poder acariciar esos años aunque sea una vez más.


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5 years ago

A veces me pregunto si soy diferente a ellos, o ellos son diferentes a mí.

Es increíble que no sienta que encajo totalmente en ningún lado. 

Es como si por más que lo intentara dejar ver claramente, nadie logra entenderme a plenitud.

¿Es esto la vida, ser incomprendido por todos y sobrellevado por varios?


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5 years ago

Te confieso

Te confieso que sueño con tus besos y recuerdo tu sonrisa

Te confieso que mi almohada llora en silencio al pensar en tu calor

Te confieso que aunque hoy mi habitación se sienta más grande, en mi pecho tu presencia sigue latiendo

Te confieso que me sigue gustando el aroma del café al amanecer, pues casi puedo creer que al salir de la cama, te encontraré en camisón sonriendo en la sala

Te confieso que la soledad me ha quitado el temor, pero ha mantenido mi esperanza.

Y no sé si algún día volverás a tomar mi mano, pero te confieso, que aún hoy, te sigo esperando.


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