Penses Du Soir - Tumblr Posts
" Etre soi-même, c'est se libérer des autres. Et il n'y a rien de plus difficile que de l'être. Il y a tellement de facteurs, autour de nous, qui veulent absolument nous façonner à leur façon.
Mais le jour où nous devenons ce que nous souhaitons, au plus profond de nous, c'est le meilleur jour de sa vie. Enfin libre de faire ce qu'on veut comme on veut.
Si je n'avais pas sauté le pas, je n'aurai jamais eu les cheveux bleu, le style que je me façonne, mon poste actuel, l'homme que j'aime et tant d'autres.
Soyez vous, il n'y a rien de plus libérateur. " ©
"Il y a deux choses vraiment difficiles dans la vie, dit ma mère : être libre et devenir soi-même. Le reste, tout le monde y arrive."
Anouk Filippini, 2105 : Mémoire interdite.
Pensees du soir ☕
Si tu savais à quel point je pouvais t'aimer. Mais je ne t'aime plus comme avant. Comme quand je t'étouffais, où tu ne pouvais pas prendre ta place réellement.. C'est différent. Ce n'est plus un besoin, mais un plus dans ma vie. Et c'est là que réside la puissance de mon amour. J'ai peur, encore. Bien sûr. Tu es le premier avec qui c'est si long, si doux, si apaisant. Tu es le premier avec qui je détruis mes barrières, peu à peu, à la place d'en construire des nouvelles. Tu m'apportes tant et j'en ai les larmes aux yeux d'avoir eu peur, récemment, de te perdre, de ne plus t'aimer. Ceci dit, je me suis rendue compte que j'équilibrais ma balance, celle qui me permet d'être libre de mes angoisses. Celle qui me permet d'être en paix, heureuse et en bonne compagnie, que ce soit avec toi ou avec moi-même. Je me vois finir ma vie avec toi. Je dirais même, je me vois mourir à tes côtés. Je ne peux imaginer le futur sans toi, sans nos projets. Sans ta présence. Sans tout ce que tu es, le bon comme le mauvais. Mes angoisses prennent, parfois, de la place, mais je me bats corps et âme pour savourer tous nos moments de bonheur, de paix et d'amour. J'ai pris conscience de ce qu'il se passait, en ce moment, en mon fort intérieur, et grâce à ça, je vais pouvoir m'épanouir davantage.
Merci d'être là, patient et à l'écoute. Merci de supporter ces durs moments, mes sauts d'humeur. Merci de m'aimer comme tu le fais et de m'aider à voir que je peux aller plus haut.
Je t'aime.
17.10.23 ©
N°1853 – Samedi 16 avril 2022
C'était un examen médical, simplement pour me rassurer. Au final, je me retrouve avec une conclusion qui me laisse sans voix. Vais-je devenir folle ? Sans voix ? Sans pouvoir bouger ? Vais-je perdre la tête ? Perdre la mémoire ? Je n'en sais rien. Mercredi prochain, j'aurai ma réponse. Je m'attends à tout. Et en attendant, je m'inquiète. A quoi bon ? C'est là ou ça sera là dans tous les cas. Je dois me laisser du temps pour encaisser et accepter ses alternatives futures, quelles qu'elles soient. Puis, je pense que le mieux est de laisser respirer mon cerveau, en attendant d'avoirs plus d'informations de la part du médecin. Elle saura mieux me dire qu'internet, qui n'est franchement pas le meilleur endroit pour se renseigner. Puis, en qui je peux faire confiance sur le net ? Tous les articles ne disent pas la même chose. Ils ont tous une même base, mais le reste devient flou au fil des lignes. Je ne comprends rien. Je dois prendre mon mal en patience. Je me dis que si cela était grave, le médecin ne m'aurait pas laissé repartir comme je suis repartie. J'ose espérer cela. Je sais que, parfois, la vie fait mal les choses. Quand je dis que le karma s'occupe forcément de ceux qui font du mal, ce n'est pas si véridique que cela. Ou alors, je fais partie de la pire espèce ? Celle qui est méchante et qui fait du mal autour d'elle ? Je ne sais pas. Je crois que je suis plus ébahie qu'autre chose et que mon cerveau n'arrive plus à penser correctement. Je dois me laisser du temps, c'est très important. Si je divague maintenant, qu'est-ce que ça sera le jour j ?
Un an et demi après l'examen, il n'y a rien qu'y a changé. Rien du tout. Le médecin m'a dit, quelques jours plus tard, qu'il n'y avait rien de flagrant au sujet de mon cerveau. Alors peut-être que... tout ça c'était du flan ? Peut-être que je me suis mise dans un état lamentable pour rien ? Je ne sais pas et finalement, je ne veux pas savoir. Je ne veux pas savoir si je serai atteinte d'une maladie neurologique plus tard. Depuis toute petite, je sens que je vais mourir "jeune", est-ce dû à mon hypocondrie ? A mes troubles de l'anxiété ? Ou une forte intuition ? J'en sais rien non plus. Alors, autant que je profite de ma vie, comme je l'entends et comme je peux, au plus possible, avec ceux que j'aime, et encore plus avec lui. L'idée simple de le laisser seul, sans moi, de ne plus être avec lui, m'effraie tellement.. Rien que pour ça, si cela arrive, je me battrai encore plus.
N°0688 – En 2014
Je trouverais la solution de remettre le passé à sa place, car oui, Père, tu fais parti de mon passé. Tu ne feras jamais partie de mon futur. Tu empiètes assez mon présent pour que je ne te laisse pas carte blanche sur mon avenir.
Tu n'as jamais fait parti de ma vie. Prends-en conscience.
Edit : Je suis partie de la maison et c'était une des meilleures décisions de ma vie. Il est toujours présent, mais je le vois que rarement, c'est déjà un point. Je n'y vais que pour elle, principalement. J'ai toujours autant de mal à lui pardonner, avec tout ce qu'il a fait.
Pensées du soir ☕
« Le présent n'est pas le passé et le passé ne devrait pas avoir d'impact sur le present. » ©
16.12.23
Pensées du soir ✨
Il y a un an, je faisais ma première crise de douleur. La première d'une longue période de souffrance et d'angoisses. L'idée de manger me faisait peur. J'étais tétanisée de savoir qu'à tout moment, je pouvais avoir une crise de douleur. La première a été relativement dure. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, mais je savais bien que quelque chose d'anormal se passait à l'intérieur. Certaines crises duraient seulement 5 minutes. D'autres pouvaient durer des heures. J'avais beau mettre de l'eau chaude, prendre des antalgiques, elles passaient avec difficulté. La dernière m'a achevé et j'ai pris la décision d'appeler pour me faire opérer. Depuis, je suis soulagée de ça, mais d'autres inconvénients sont apparus. Certes, je n'ai plus de douleurs, plus de vésicule pour m'emmerder. Mais la digestion ne se déroule plus de la même force. C'est ainsi. La douleur de ses crises est tellement force. Tellement puissante, que mon corps se tendait de part en part. Lorsqu'elle disparaissait, c'est comme si j'avais couru un marathon de quarante kilomètres en dix minutes. C'était un début d'année compliqué et je prie pour que ma santé me lâche la paix pendant un moment.
25.12.23 ©
Tu peux aller te faire foutre. J'arrête de me battre pour vous plaire, puisque j'ai bien compris que je suis pas votre fille idéale. C'est fini. Le vase déborde.
Au bout de quatre ans, entendre «Tu n'es pas a la hauteur de ta mère», ça va cinq minutes.
Tout ça pourquoi ?
Je me bats pour moi, mon couple, mon travail, ma vie. Rien de plus. ✨
02.01.24 ©
. La petite fille que j’étais à peur de l’adulte que je deviens, mais elle doit y croire. Elles doivent se faire confiance, l’une et l’autre, et avancer sur le même chemin. Je me sens mieux d’être apaisée et rien que pour ça, je me battrai pour vaincre mes angoisses. Tout n’est qu’une question d’équilibre.
Lundi 21.10.23
Trad. : La question pertinente en psychiatrie ne devrait pas être de savoir ce qui ne va pas chez vous, mais plutôt de savoir ce qui vous est arrivé.
« C'est pour ça que ma thérapeute se basse essentiellement sur mon vécu et non pas sur des théories qu'elle a appris à l'école.
Puis, de vous a moi, tout le monde devrait parler a une thérapeute. Voir quelqu'un pour vider son lourd fardeau. »
“The relevant question in psychiatry shouldn’t be what’s wrong with you, but what happened to you.”
— Eleanor Longden
Édit : Je me suis toujours demandée qui viendrait ce jour-là. Malheureusement, je ne le saurai jamais. Qui sera là, à ce moment-là ? C'est peut-être mieux de ne pas le savoir, finalement. Au risque d'être déçue encore une fois, ou d'être surprise et de se dire qu'on a loupé quelque chose.
21.02.24
"Genre tu te pointes à ton propre enterrement, histoire de regarder la vie qui continue sans toi." ♥
Brit Bennet - L'autre moitié de soi

Actuellement, le réveil est dur. Heureusement qu'il est là. Il sait que c'est dur et il me demande tous les soirs à quelle heure j'embauche pour me réveiller et me motiver. Vivement les vacances.
Merci Bae ♥
21.02.24


Mood
Trad. : La plus grande erreur que vous puissiez commettre est de sacrifier vitre santé mentale pour protéger celle des autres.
Prenez toujours plus de temps pour vous que pour les autres. Donnez vous plus d'amour qu'aux autres. Nous n'avons qu'un corps, qu'un coeur, qu'une âme. A nous d'en prendre soin.
l'errore più grande che puoi fare è sacrificare la tua salute mentale per proteggere quella degli altri
J'ai enfin rattrapé mon retard ici. Navrée de cette absence, mais il y avait un besoin de me retrouver et de prendre soin de moi.
Prenez soin de vous.

J'ai cherché dans mon téléphone, ce qu'il me reste de toi. Tout est sur l'ordinateur et je n'ai pas le coeur d'aller regarder tes 1.300 photos. Moi, qui pensait atteindre les 2.000 photos de toi. Tu étais tout le temps collé à moi, dans des positions plus qu'improbable. Maman disait toujours que tu étais sans cesse avec moi et qu'elle ne se demandait plus où tu étais, quand j'étais à la maison. Je ne m'en rendais pas compte. Pourtant, c'était véridique.
J'ai cherché pour ta grande sœur, mais je n'ai plus de photos d'elle sur moi. Je devrais en mettre quelques unes. Les plus belles. Je devrais me créer un dossier "Mes plus belles étoiles" et le garder pour toutes ces fois où je ressens le besoin de revoir vos bouilles.
J'ai encore le coeur en miette ce soir, parce que vous me manquez, toi et Cao. Demain, je vais voir le tatoueur pour poser une date. Je vous ai dessiné, tous les deux, côté à côté. Comme à l'époque. J'ai besoin de le mettre sur ma peau, encore une fois. Vos initiales ne me suffisent plus. Le chat ailé tatoué deux jours après ton départ ne me suffit plus.
Ça fait 13 ans que je n'accepte pas les conditions dans lesquels est partie Cao. Mais j'accepte encore moins la tienne. Je n'ai pas pu te dire au revoir, comme j'ai pu le faire pour ta soeur, même si je n'y étais pas préparée. Et ça, ça pèse lourd sur mon coeur. Beaucoup trop lourd.
En écrivant, je pense à quelque chose. J'ai fait une création en ton nom à maman, car je sais ô combien tu lui manques. Mais je vais m'en faire une également, avec Cao. Ca sera mon lieu de recueillement, là où je pourrais vous parler, penser à vous (même si je n'ai pas besoin de ça), ou juste libérer ma peine.
La douleur de votre départ ne part pas, je m'y habitue. Vous étiez mes meilleurs amis, vous l'êtes toujours. Dans mon coeur, vous avez toujours la même place. Personne ne vous remplace.
Il n'est pas vous et pourtant, Pin's est aussi calin, aussi joueur. Il me colle, où que j'aille. Il adore dormir dans mes vêtements, dans mes sacs, dans mes cartons. Comme vous. Il adore venir sur le bureau, se frotter à moi. Il ronronne fort et il veille sur moi quand je vais mal. Comme vous. La relève est assurée et je ferai tout pour qu'il soit aussi heureux que vous. Je veillerai sur lui, comme j'ai veillé sur vous.
Mes meilleurs amis.
Cao, Loustik, Pin's.
Trad. dernier post :
À tous ceux qui ont besoin d'entendre cela, ma tante a appelé ma mère l'année dernière en larmes et, alors qu'elle parlait de la façon dont les choses se passaient, elle a admis qu'elle ne savait pas qu'elle pouvait être si heureuse et qu'elle ne savait pas à quel point la vie pouvait être belle.
Elle a 72 ans. Après une période très difficile, elle est désormais avec quelqu'un qui la chérit (elle l'a rencontré il y a trois ans !), part en road trip plusieurs fois par an, a fondé deux organisations à but non lucratif pour aider les personnes qui ont traversé des difficultés similaires et se sent épanouie.
30 ans, ce n'est pas trop tard. Ni 40, ni 50, ni même 70 ans.
« C'est exactement ce dont j'avais besoin aujourd'hui de lire ou d'entendre. De me dire que, malgré mes trente ans, j'ai encore le temps devant moi. J'ai de nouveau ma peur de mourir qui me guette. Sûrement parce que la seule personne de ma famille que j'ai n'est pas dans sa meilleure forme. alors, mon angoisse de passer à côté de ma vie, parce que je ne fais jamais assez de choses est assez présente. Mais je lutte. Je lutte, car je ne veux pas céder à la tentation d'aller plus vite que la musique. Ca ne m'intéresse pas. Je veux profiter de chaque moment, dans la douceur et la joie. Je sais que je ne suis pas vieille, que j'ai tout le temps de faire tout ce que je veux. Mais parfois, il faut l'entendre ou le lire de la part d'une autre personne pour que cela ait plus d'impact. »
reminder that 30 isn’t old, it’s very normal to not accomplish everything in your 20s, and that it is never too late to learn that thing you’ve always wanted to learn. you’re always growing. that’s a good thing.