Mags - Tumblr Posts
I'm Shoketh
!!! Spoilers for The Hunger Games under cut. !!!
The ending when Prim died was just- I was crying. Also the end where Katniss has children with Peeta shocks me, that escalated quickly. The final battle as well, I was also crying because the lost so many people. The way Katniss cried into buttercup made me had mixed feelings, she was using her as a rag.
Can we talk about how Mags and Finnick literally kiss in Catching Fire, like, I smell pedophilia 😙
Rue and Prim forever have a place in my heart.
Btw, Prim, you should have never accepted the job girlie.
Sincerely, Seggggga


i’m maggie and if one thing about me is true: i have never relaxed a day in my life! also, i always have an upset tummy and i’m never brave about it.
my chats is @andnovelties if anyone wants to yap my ear off about movies and tik toks and cats. ❤️
thinking about mags and coral rn 😕
no bUT LIKE
mags knew her days were running out and she decided that instead of letting death come to her she would go into that arena and help the resistance because she wanted to die for something meaningful
mags volunteered to take annie’s place knowing really well that she wasn’t gonna make it, because she preferred to die rather than risking losing annie and having finnick live without her
mags was an eighty year old lady volunteering to go fight to the death once again for a new world that she probably knew she would never see
and if that isnt the punkest thing you have ever heard in your whole goddamn life then you can get the fuck out of my face
Makes me wonder if Mario feels the same when he leads the fighters of Super Smash Bros...

From Skylanders Issue #9: Return of the Dragon King Part 3 Spyro is becoming more of a Skylanders leader by the day~ Makes me want to cry with joy…. *sniff*
~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader

Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous.
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches.
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider.
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs.
-Tu dois sûrement les connaître.
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines.
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène.
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer.
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes.
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin.
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie !
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon.
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant.
-Nous partirons ce soir.
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi.
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question…
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels.
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
-Mon corps.
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui.
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
I'll Carry You Home 🔱🩵
Finnick Odair × Fem!Reader



The arena was a living nightmare, a place where the air was thick with the scent of fear and the distant echoes of the Capitol’s cruelty. The jungle around them was dense, the trees casting long shadows as the sun dipped below the horizon. Finnick’s breathing was shallow, the weight of the day’s horrors pressing down on him as he gently placed Mags against a tree. The old woman sighed softly, her eyes closing in exhaustion. She’d done more than anyone could have asked of her, and now she needed rest.
Finnick’s gaze shifted to you, where you sat a little way off, trying to catch your breath. The two of you exchanged a glance, a silent understanding passing between you. You nodded, and he made his way over, sitting down beside you. The night was creeping in, the darkness giving you a small measure of privacy from the ever-watching cameras.
“We need to find a way out of here,” you whispered, your voice barely a breath.
“I know,” Finnick murmured, his eyes scanning the perimeter, looking for any signs of danger. “We can’t stay here much longer.”
You both knew the odds were against you. The Capitol had designed this arena to be a death trap, and only one person was supposed to make it out alive. But Finnick wasn’t going to let that happen—not if he could help it.
He leaned in closer, his lips brushing against your ear as he spoke so quietly that even the Capitol’s most advanced technology wouldn’t be able to pick up on it. “There’s a way,” he whispered. “When the time is right, we’ll make our move. We just need to be patient.”
You nodded again, the hope in his voice giving you strength. But it was hard to hold on to that hope in a place like this. You could feel the weight of the Capitol’s eyes on you, waiting for you to slip up, to make a mistake that would cost you your life.
Finnick could sense your doubt. He reached out, his hand finding yours in the dim light. “I’ll carry you home,” he whispered, his voice full of quiet determination. “I’ll make sure you’re safe. And when this is all over, we’ll have a future. Together.”
His words hung in the air between you, a promise made in the most impossible of circumstances. You wanted to believe him, needed to believe him. But the arena had a way of stripping you of your dreams, replacing them with cold, hard reality.
As the night deepened, Katniss took the first watch, her eyes sharp as she scanned the darkness for any threats. The rest of you settled down to sleep, though rest was elusive in a place like this. The jungle was alive with sounds, each rustle and snap a potential threat.
You lay close to Finnick, his presence a small comfort in the darkness. He was your anchor, the one thing keeping you grounded in a world that had gone mad. As you closed your eyes, his words echoed in your mind, mingling with the lyrics of a song you’d once heard stories about from District 4, before the Games, before the Capitol had torn your world apart.
“But I’ll carry you home, no matter how far, I’ll carry you home, we’ll never be apart. The darkness can’t hold us, the night can’t keep us down. I’ll carry you home, and we’ll make it somehow.”
Finnick’s hand tightened around yours, as if he could sense your thoughts, and he leaned in closer, his voice barely audible. “I promise,” he whispered. “No matter what it takes, I’ll get you out of here. We’ll make it.”
You nodded, your heart heavy but full of resolve. You knew the road ahead would be long and dangerous, but with Finnick by your side, you felt a glimmer of hope. Together, you would face whatever the arena threw at you. Together, you would survive.
And one day, somehow, you would find your way home.



If you enjoyed please react in anyway 🔱🩵
Thank you for reading 😊